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. je me présente, , j’ai l’intention de faire plaisir aux males soumis et aux maitresses exigentes, je n’apcepte aucune critique, que des encouragements, tout au long de ce blog, j’expliquerai ce qu’est vraiment la soumission de l’homme, vu par moi, ma devise est, tout pour les femmes les restes au hommes, ces etres repugnant qui nous reluque le cul avec des yeux de merlan frit, j’en ai trois en ce moment dans ma cave, je les gave à coups de cravache, ils pleurent, ils me supplie, mais qui puis-je c’est eux qui sont venus, ils se disent esclaves et ne supporte pas une correction, ils se rappeleront longtemps le stage chez. . voilà mon histoire avec un peu d’invention j’ai aimer un homme, il m’a trahit, trompé, frappé même, mais quand j’ai reagis et menacer de le quitter, il s’est jeter à mes pieds, me demandant pardon et de le garder pres de moi, reflechissant à sa proposition, j’acceptais à condition qu’il devienne mon esclave, tous ce que tu voudras me dit-il en pleurant, me lechant les bottes comme un chien, tu es en congé pour un mois, donc, je vais avoir le temps de te dresser à ma convenance, fou toi a poil et viens me rejoindre à la salle de bain, vite esclave, je le fis raser tous les poils, je lui preter une minijupe de vinyle ainsi qu’un bolero, je lui ordonné ensuite d’aller mettre de la paille dans le chenil du chien que nous avons perdu l’année derniere, du coup, il herita de la laisse et du collier, que je cadennassais,et qui as une particularité, il est electrique, une petite telecommande avec trois positions un deux trois, croyais moi, le troisieme fait mettre a genoux n’importe quel molosse, j’asayais le premier, ce conard hurla, je le giflais, il se rebella, j’appuyais sur le troisieme et en profitais pour lui passer des menottes, puis je lachais le bouton, allez au chenil esclave, je l’enfermais et le laissais là, étendu en plein soleil, j’allais moi même chercher un transat et un parasol, je m’étendais et me fis bronzer, je buvais quand j’avais soif le laissant saliver, j’estimais que me regardant boire attenuerais sa soif, un dicton dit, « regarde boire ta maitresse et tu n’auras plus soif, je le dis a mon mari en riant, salope me dit-il, tu ne peux savoir à quel point mon cheri, mais tu vas avoir un mois pour t’en aperçevoir, je me caressais la chatte en le regardant à terre, apuyant de temps en temps sur le bouton de la telecommande pour le faire rester à sa palce et lui faire fermer sa gueule, je jouis devant ma larve, lui qui a ce moment ne sais pas ce que je lui reserve, mon jeu de seduction dura plus de deux heures, je rentre me mettre à l’ombre et me doucher, toi pas bouger mais je te permet d’aller dans ta niche, allez va mon chien, je rentrais, quand je m’eus restaurer, j’allais revoir mon mari, il etait asser tard, et j’avais revetue une tenue assez provoquante, toute de cuir vêtue, cravache en main tapotant sur ma cuissarde, je m’admirais dans ma glace, puis je me dis, il doit avoir faim ce petit cheri, tout en pensant a cela, j’appuyais sur le bouton trois, je l’entendis hurler, et je mouillais ma petite culotte, je lui portais sa gamelle, mes restes, mélanger de mes crachats, et un bol d’urine, directement sorti de ma chatte, je passai le tout sous la grille, regale toi chien, et fini le tout ou il t’en cuira. cherie, cesse ce jeu, je t’en prie, d’un coup de poussoir il comprit tout de suite son erreur, j’entrai dans le chenil et lui assener dix coups de cravache, mange et boit, ensuite je t’emmènerais faire tes besoins, il pleurait, le pauvre, moi je mouillais de la situation qu’il m’avait permis de faire, après ses besoins, je le renfermais dans sa niche, bonne nuit esclave, à demain. je me baiser avec un gode avant de m’endormir, je hurlais de plaisir, mon conard de mari à dut entendre ma jouissance, le matin je me levai en pleine forme, je déjeuner dans du café et en laisser un peu pour mon esclave, j’urinai dedans, et allez lui porté, j’ouvris la niche, sort et bois ton café chien, il sortit a quatre pattes, il se rua sur mes cuissardes en signe de bonjours, reste dans cette position, la seule que je veux voir, tu ne vivras plus jamais debout devant moi et devant certaine de mes amies, bois ton café et sans faire de grimace, c’est un musk pour esclave, ensuite j’allai dans le parc pour qu’il fasse ses besoins, j’ai oublié le papier, tu te torcheras avec des feuilles, maitresse, je suis attaché, et alors, tu trainera ton cul dans l’herbe, après je te ferais gouté à ma cravache, car j’ai décréter que tu mérite une correction dés le lever du jour, quand je t’aurais ramener dans ton chenil, j’irai querir quelques accessoires que je juge utile pour ton dressage, et quelques vêtements pour moi, nous sommes en vacance et les boites restent ouvertes toute la nuit, après avoir exécuter les sentences ci dessus, je pris la voitures et allez en ville, je m’arrêtais devant une boutique de luxe sm, j’entrais, elle sentait le cuir, la peau, rien que ce parfum m’excitait, vous désirez madame me dit une voix fluette, je me retournais et remarquai un jeune homme efféminé tenu en laisse par une jeune fille aux cheveux bicolores, elle me sourit et me dit, j’essaie quelques accessoires sur mon frère, et je lui apprends à recevoir les clientes, ca ne vous dérange pas si je lui fais lécher vos bottes, absolument pas mademoiselle, d’ailleurs il sera puni pour cette faute impardonnable, si vous êtes d’accord, bien sur, je ne demande qu’a apprendre répondit-elle en bottant le cul de son frère qui écrasa sa langue sur ma botte, puis elle me dit, je m’appelle cindy, ma mère est en course et m’a demander de tenir le magasin, j’en profite pour dresser mon frère, qui adore m’obéir, n’est ce pas chien, oui maitresse, votre mère est au courant, bien sur, elle même est une dominatrice, elle a mon grand père, mon père a sa botte, il faut les voir trembler à son approche, mais au fait vous désirez quoi, me rhabillais du pied à la tête, je veux de la peau, des cuissardes de différentes couleur, et des accessoires comme des cagoules, fouet, martinet, moi aussi je suis en train de soumettre mon mari, j’ai commencer son dressage hier, voulez vous un coup de main dit une voix derrière moi que je n’avais pas vu entrer, ma mère me dit cindy, samantha dit-elle en me tendant la joue que j’embrassais tendrement, martine lui dis-je mais je préfère que l’on me nomme sévèra, volontiers lui dis-je, je vois que vous êtes plus qualifié que moi répondis’ je pendant que son fils lui baiser le bas de sa robe en cuir, j’ai horreur des hommes, mais j’adore en faire des esclaves, je serrais les cuisses compressant ma chatte tellement je mouillais, venez dit samantha, vous allez faire une liste que l’esclave se fera une joie de préparer, ferme le magasin cindy, que nous puissions êtres tranquille, va fermer esclave ordonna-t-elle à son frère qui obéi immédiatement, samantha me fit entrer dans un immense salon, des hommes attachés solidement servaient de siège, de table, de cendrier, et bien d’autre chose encore, là je ne me retint pas, je pissais de mouille, mon hôtesse me pria de m’assoir, choisissez chère amie, j’adore qu’une novice découvre ce que l’on peut faire avec des esclaves, j’adore, je m’installais sur la tête qu’un esclave, mon cul s’incrustant parfaitement sur sa face, cindy se vautra dans un divan ou deux esclaves étaient lier l’un sur l’autre mais avec le sexe de l’autre dans leur bouche, un collant les empêcher de relever la tête, les esclave étaient assez jeunes, samantha m’expliqua pendant que cindy allumer une cigarette ordonnant à l’esclave cendrier d’approcher, ce sont ses petits amis, ils sont accroc à ma fille, et ils sont d’accord et ont signés un contrat lui donnant tous pouvoir sur eux, alors, les jours ou ils n’ont pas cours, ils viennent se mettre à sa botte, là ils sont puni parce que cindy à découvert dans la semaine, que ces deux batârd comme elle dit, ont regarder des filles au dessus de la ceinture, chose interdite aux esclaves, je sui